L’occasion nous est donnée dans les semaines qui viennent de réfléchir ensemble à nos métiers. Saisissons là !
Mais saisissons-là vraiment ! Pour que ces débats soient fructueux, nous devons nous garder de nos propres a priori, de nos propres discours parfois trop formatés.
Eh oui, comme toute collectivité, nous avons nous aussi nos petites habitudes de pensées, nos préjugés, non-dits, clichés… Rien de bien grave après tout, car rien de plus courant.
Ces idées reçues, maintes fois entendues, et que les meilleurs d’entre nous se surprennent parfois à psalmodier dans un état second comme d’autres récitent des mantras, on sent bien qu’il est délicat de les mettre en doute, qu’à les contester on risque de froisser certains, d’en heurter d’autres.
Serait-il tabou de les remettre en cause ???
Si vous n’avez pas encore rageusement froissé ce tract, si vous ne l’avez pas jeté à travers votre bureau ou destiné à d’autres usages plus infâmants, vous aurez peut-être le courage de continuer cette lecture et de voguer, avec nous, vers … les rives incertaines de la pensée non-unique.
Pour lire la suite du document, cliquez ici !