Dans son courrier fleuve de 12 pages, que la plupart n’ont pas lu, Yves Struillou nous annonce que la suppression des sections au sein des UCs nous pend au nez, prétendument par la faute d’une minorité d’agités réfractaires qui nuiraient à l’efficacité du système d’inspection du travail…
En somme si tout va mal, ce n’est pas sa faute mais celle des agents de l’Inspection du Travail…